LEsclave De Zoran - Début De Démolition Et Première Fécondation Par Le Boss
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Il était 11 heures de mat passé quand je suis rentré chez moi.
Javais les couilles éclatées grave, mon corps était couvert de bleus et de zébrures de fouet, mon cul total explosé.
Zoran mavait tabassé, torturé, violé pendant plus de 7 heures.
Pourtant, dès que jai commencé à me toucher, je me suis mis à gicler.
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Une fois dans la playroon, il a commencé par m'attacher sur le pieu, écartelé bras et jambes en croix et après il ma bandé les yeux.
En principe, jaime pas trop ça. Quand je morfle, je préfère voir le mec, pour anticiper ce que je vais subir. Mais avec lui jai pas osé la ramener.
« Tas de la tune sur toi? »
« Jai juste 20 euros, Maitre. Pourquoi, Maitre? »
« Dommage pour toi. Je taurais bien foutu sous slam. Mais je fais payer 50 la dose. Donc, tu vas morfler sans. Tauras juste du poppers, quand je le déciderai. La prochaine fois, faudra y penser »
Une fois à sa merci, il a recommencé avec mes tits. Il les pinçait, les tordait, tirant dessus, les mordait sauvagement.
Le plus hard, je my attendais pas, cest quand il les a transpercés avec une aiguille.
Jai pas pu mempêcher de gueuler. Pour finir, il y a fixé des pinces crocodile.
Après ça a été le tour de mes couilles.
Il les a attachées super serrées avant de tirer dessus comme un malade pour fixer lautre extrémité de la cordelette à
un des barreaux du pieu au point que jai du soulever mon cul tellement quil reposait plus sur le matelas.
Même si ça faisait mal, je bandais grave.
Il ma décalotté le gland et a commencé à le masser.
Cétait bon, je mouillais à donf.
Ca a pas duré. Jai senti quil faisait couler quelque chose dessus.
Il a continué à me masser le gland mais après quelques instant, ça brûlait atroce.
Je me tordais, je chialais, je le suppliais d'arrêter mais il continuait.
« Tinquiète, cest juste du piment. Histoire de te chauffer un peu.
De toute façon, les keums comme toi, leurs couilles et leur zob, cest pas fait pour jouir, juste servir de défouloir aux Mâles.
Avec moi tu vas vite apprendre. Jvais te faire regretter davoir des boules et une queue ».
Jai vite compris.
Après le piment sur le gland, il ma enfilé une sonde en acier dans l'urètre, en lenfonçant aussi loin quil pouvait.
Une fois enfoncée, il ma fait un bondage serré de la queue, histoire que la sonde reste bien en place.
Javais la bite à la verticale, mais c'était pas parce que je prenais mon pied. Je morflais grave.
Il sest éloigné un moment. Jai cru reconnaître le bruit dun briquet.
Et puis un premier coup de badine, sur les pieds.
Jai gueulé. Dautres coups ont suivi. Une dizaine.
Mais cétait rien par rapport à la suite.
Après mes plantes de pieds, il sest mis à me frapper les couilles.
A chaque coup, cétait comme une décharge qui me traversait tout le corps.
Il a continué à cogner, méthodiquement, après les couilles sur la queue puis le bas ventre, les pecs, les tétons.
Je bandais plus depuis longtemps, et si mon zob était toujours à la verticale, c'était juste à cause de la sonde.
Je gueulais pas non plus, je me contentais de geindre et de chialer.
Cétait bien un briquet que javais entendu. Jai pigé quand il a commencé à me r à la cire.
Il a commencé par les tits, puis le torse, le ventre, la bite pour finir par les couilles.
Après ce javais déjà subi, c'était presque soft. En plus, la cire, javais lhabitude. Ça fait partie des trips sm classiques.
Sauf que généralement les autres mecs ils faisaient couler la cire de 10 15 cm de haut, du coup ça brûlait moins.
Lui c'était juste au dessus de la peau quil tenait la bougie, histoire que ça fasse le plus mal possible.
Après la bougie, jai eu droit à un peu de répit.
Zoran est monté sur le pieu à son tour. Il sest mis à 4 pattes sur moi pour moffrir son cul en face sitting.
« Bouffe le, pédé. Décrasse bien. Et profites en. Utilise bien ta langue. Tu peux même le pénétrer avec.
Parce que pour le reste, rêve pas. Je suis pas un enculé moi. »
Bouffer une rondelle, ça me gêne pas, sauf si elle est crade.
La sienne ça allait à peu près. Jai commencé à lui lécher la raie avant de lui titiller la chatte avec la langue pour la bouffer et la rentrer dans son trou.
Je minterrompais régulièrement pour sucer et aspirer avant de recommencer.
Visiblement, il aimait ça. Je lentendais gémir, il disait que cétait bon,
que cétait le boulot dun pute de décrasser le cul des Mâles.
Quand il a jugé que son cul était suffisamment propre, il a changé de position pour moffrir sa bite.
Elle était raide, super dure, une vraie barre. Il ma ordonné de lui bouffer les couilles, de lécher sa queue, son gland.
Il mouillait grave. Javais mal partout, mais putain ce que javais envie de son zob.
« Ouvre ta gueule, la pute. Je suis sur que ten as envie, hein?
Et que tas jamais eu une queue comme la mienne »
« Oui, Maître. Défoncez moi la tronche, Maître jen ai envie, Maître »
Il m'a défoncé la gueule un long moment, en gorge profonde.
Vu l'engin, j'avais du mal à prendre son zob. Mais j'en mourais d'envie.
A chaque fois qu'il sentait qu'il allait gicler, il le ressortait,
attendait quelques instants le temps de faire baisser la tension et recommençait à me limer.
Il m'a pas joui dans la gueule.
Après me l'avoir limée comme jamais elle ne l'avait été, il s'est redressé.
Il m'a détaché, me laissant juste les pinces et la sonde dans la bite.
Jétais complètement ankylosé.
"A 4 pattes, pédé, file moi ton cul, j'en ai trop envie"
Je me suis mis en position, présentant ma croupe, jambes bien écartées.
Javais super envie quil me défonce, mais en même temps j'appréhendais la suite, vu la taille de son engin.
« Je peux prendre du poppers, Boss? Sil vous plaît »
« Ouais, tu vas en avoir besoin. Alors profites en »
Je me suis gazé à donf, jusquà ce que la tête me tourne, pendant que Zoran frottait sa teub raide contre ma chatte.
Il ma agrippé par les épaules, histoire que je me cambre bien et me la mise, dun coup, à sec.
Jai pas pu mempêcher de hurler. Jamais je m'étais pris un tel morceau et encore moins à sec.
Cest comme sil mavait déchiré, ouvert en deux.
Tout en me maintenant fermement les épaules, il a commencé à me défoncer la chatte,
enfonçant à chaque coup de reins son zob plus profond.
Lavantage dun cul cest quil sadapte. Au fur et à mesure de ses aller retour dans mon cul,
la douleur sestompait. Je me suis mis à bander grave.
Zoran sen est rendu compte, et tout en continuant à me limer, il a recommencé à me travailler les boules,
serrant de plus en plus fort.
Javais mal, mais en même temps ça mexcitait grave de me sentir complètement possédé,
violé par un Mâle comme lui.
Et je vibrais désormais au rythme de sa queue, pour quil senfonce chaque fois plus profond en moi.
Ça a duré un bon moment. Dès quil sentait quil allait gicler, il sortait sa queue quelques instants, pour me la remettre ensuite.
Quand il a fini par cracher son foutre, à longs traits saccadés, on était tous les deux en nage.
Il sest effondré sur moi, m'écrasant du poids de son corps, sa bite encore raide toujours dans mon cul.
« Putain, tes vraiment une bonne pute et ton cul il est parfait, serré juste ce quil faut.
Et tes à moi. Un bâtard que jai fécondé, ça devient mon esclave.
Quand jaurais fini de te casser, jte marquerai pour de vrai.
Mais à partir de maintenant, tes déjà ma propriété.
Lève toi, je sais que tu voudrais pas gaspiller le foutre de ton Boss. On va tle tasser bien au fond de ta chatte »
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